Hier et demain je m'en fous ou bien la vie au fil de Tachan c'est quoi au juste ?
La scène se situe dans un bar, sur une petite place de quartier, voilà pour l'unité de lieu. Les chansons de Henri Tachan rythment la vie de la salle et ses discussions, ainsi de l'unité d'action. Quant à l'unité de temps elle se déroule au cours d'une journée comme les autres.
Dans ce petit bar on y trouve le patron, bien sûr, plus enclin à discuter et à passer devant le comptoir, que d'y faire la vaisselle. Laver les verres c'est pas son truc, le sien ce serait plutôt de les salir. La patronne, cela va de soi, pulpeuse et... pulpeuse qui mène fermement son petit monde. La serveuse, jeune fille-mère délurée ; voici pour le service.
Les habitués quant à eux ne sont ni pires, ni meilleurs qu'ailleurs. On y trouve le couple de commerçants qui vient s'en jeter un dès qu'il a cinq minutes, la concierge du coin, décalée, à la langue toujours prête d'aller et qui imbibe ses rancœurs au fond de quelques verres, les deux bourgeoises du haut de la rue qui persiflent inlassablement devant leur café, le vendeur ambulant gouailleur qui ne vend que du vent et autres colifichets aussi inutiles qu'encombrants. Ah, j'oubliais l'autre, la soeur Sourire du 69bis de la rue Monte-En-l'Air, en rupture avec tout le monde, y compris avec elle même.
Et tout ce microcosme, alcool aidant, refait le monde et redessine les contours de la Société à grands coups de lieux communs et de vérités à la petite semaine.
Si l'on y ajoute quelques chorégraphies, des chants et de la musique cela fait un spectacle à déguster sans modération autour d'un diner convivial.
Alors, elle est pas belle la vie ? Enfin, faut quand même attendre début 2011. ben, oui quoi, faut le temps qu'on se prépare. C'est pas rien à monter tout ça !
Dans ce petit bar on y trouve le patron, bien sûr, plus enclin à discuter et à passer devant le comptoir, que d'y faire la vaisselle. Laver les verres c'est pas son truc, le sien ce serait plutôt de les salir. La patronne, cela va de soi, pulpeuse et... pulpeuse qui mène fermement son petit monde. La serveuse, jeune fille-mère délurée ; voici pour le service.
Les habitués quant à eux ne sont ni pires, ni meilleurs qu'ailleurs. On y trouve le couple de commerçants qui vient s'en jeter un dès qu'il a cinq minutes, la concierge du coin, décalée, à la langue toujours prête d'aller et qui imbibe ses rancœurs au fond de quelques verres, les deux bourgeoises du haut de la rue qui persiflent inlassablement devant leur café, le vendeur ambulant gouailleur qui ne vend que du vent et autres colifichets aussi inutiles qu'encombrants. Ah, j'oubliais l'autre, la soeur Sourire du 69bis de la rue Monte-En-l'Air, en rupture avec tout le monde, y compris avec elle même.
Et tout ce microcosme, alcool aidant, refait le monde et redessine les contours de la Société à grands coups de lieux communs et de vérités à la petite semaine.
Si l'on y ajoute quelques chorégraphies, des chants et de la musique cela fait un spectacle à déguster sans modération autour d'un diner convivial.
Alors, elle est pas belle la vie ? Enfin, faut quand même attendre début 2011. ben, oui quoi, faut le temps qu'on se prépare. C'est pas rien à monter tout ça !
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